Par Adèle Van Reeth
Réalisation : Mydia Portis-Guérin
Lectures : Marianne Basler
L’année 1929 fût un excellent crû pour l’agrégation de philosophie. La paire d’âmes Sartre –Beauvoir, se retrouva en pôle-position. Sartre pensa que son échec l’année précédente l’autorisait à passer outre les règles de galanterie et trôna en première place, Beauvoir, en deuxième, suivi de près par leurs amis Maheu et Nizan. Mais s’il suffisait d’être agrégé pour devenir philosophe, les rayons de librairie auraient une autre allure. Qu’en est-il pour le Castor ? Si ses mémoires, essais et romans sont restés célèbres, a-t-elle construit une vision du monde conceptuelle qui soit bien à elle ? ou bien son rôle a-t-il surtout été d’aider Sartre à développer sa propre pensée ? Eléments de réponse aujourd’hui avec Michel Kail, professeur de philosophie et membre du comité de rédaction de la revue fondée par Sartre et Beauvoir en 1945 : Les temps modernes.
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